Bonjour
Je ne vous referai pas l'historique de l'insignifiant bilan de notre député, qui comme nous l'avons déjà évoqué a collectionné tout les cartons rouges qui l'on pouvait collectionner pendant ce mandat.
- Absence de présence sur le terrain pendant 5 ans
- Ami personnel de Nicolas Sarkozy
- Déficit de 500 milliards
- Echec sécuritaire
- Recul de la présence de la France à l'OTAN
- Absence de projet industriel innovant
- Echec du grand Paris ( non financé)
- Recul du niveau général de l'éducation
- Absence de projet lié à l'économie verte
- Absence de préparation à la fin de l'ére du pétrole bon marcher
etc etc
On pourrait continuer ainsi encore longtemps mais les français se sont déjà exprimé en chassant le pouvoir sarkoziste du palais Elyséen. Toutefois, le travail n'est pas encore totalement terminé, puisque l'arrogance règne encore sur notre belle circonscription. Peut-être avez vous remarqué dans le document distribué aujourd'hui combien A P réussit dans un magnifique mouvement, le retournement de veste controlé. Reniement total du bilan. Enthousiasme pour la démocratie-sociale. Défense tout azimut de l'Etat providence. Il y a aussi, le fameux passage que l'on n'ose pas relire tellement c'est beau et émouvant dans lequel, sur le ton du pardon, A P avoue, à demi-mot "Nous avons fait des erreurs". Et pour finir dans un sublimissime salto parfaitement réceptionné; naissance d'un écologiste convaincu, altruiste et déterminé. On en pleurerait.....SNIF SNIF SNIF
"La Grèce donne ainsi de nouveau le vertige à ses partenaires européens et aux
marchés, qui craignent qu'elle ne cède aux forces hostiles à la rigueur. "Nous
sommes au bord du retour à la drachme et du désastre", estimait samedi matin le
quotidien libéral Kathimerini. "Une grande partie de nos concitoyens ne
s'en rendent pas compte, et c'est très dangereux", a-t-il ajouté.
À Rome, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, avait
haussé le ton vendredi en estimant que la Grèce devrait quitter la zone euro si
elle ne parvenait pas à respecter les engagements budgétaires pris en échange du
plan de sauvetage qui lui a évité la faillite. L'Allemagne est également revenue
à la charge samedi. "Si Athènes ne tient pas parole, ce sera un choix
démocratique. La conséquence sera que la base pour de nouvelles aides
disparaîtra", a déclaré le président de la banque centrale allemande, Jens
Weidmann. Vendredi, c'est le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble,
qui avait déclaré : "La zone euro peut supporter une sortie de la Grèce."